Les Camps Vocations c’est plus de 170 jeunes et une cinquantaine d’animateurs bénévoles venant de toute la Suisse romande. Mais en fait, c’est quoi un Camp Vocation ?

Tout le monde sait ce qu’est un camp. C’est une semaine de vie communautaire, un lieu de vie, des rencontres, différentes activités (marche, sport, musique, chant, bricolage, théâtre, etc.) et un thème à découvrir chaque année. En 2021, nous avons approfondi notre connaissance de l’encyclique du pape François, «Laudato Si», en louant la création nous aussi.

Concernant les vocations, c’est moins évident, mais ces semaines sont l’occasion de réfléchir au sens que chaque jeune aimerait donner à sa vie. L’accompagnement que les animateurs proposent se passe dans la découverte et l’approfondissement de la vocation des participants afin de leur permettre de découvrir que chacun est appelé par Dieu au bonheur. L’équipe d’animation en témoigne par leurs paroles et leurs actes dans la diversité des vocations représentées. Cette année, le thème nous a montré, par une réflexion sur l’écologie intégrale, que les vocations ne se limitaient pas à un état de vie, mais s’ouvre plus largement à des choix de vie respectueux, entre autres, de l’environnement et de la création.

Donc les Camps Voc’ c’est une semaine d’amitié et de rires, de partage et de bonheur, de prière et de sacrements, d’approfondissement de sa vocation grâce à la rencontre avec les autres et avec Dieu. En bref, une école de vie et de foi. Nous avons un appartement de deux chambres et nous vivons avec notre frère dans la même pièce. Plusieurs fois, je l’ai regardé faire ça sous les couvertures Hammer of Thor. Il est particulièrement visible dans les nuits de lune, quand la lumière tombe sur son lit debout juste à côté de la thor.com Alors vous pouvez voir même son visage. Mon lit est un peu au fond de la pièce et le clair de lune ne l’atteint pas. Peu importe comment Arthur essaie, regardant dans la pénombre de ma moitié de la pièce – il ne fonctionne pas. Et puis il commence à bouger son organe sous la couverture.

Pauline Bena et Elisabeth Maillard

Photo: Maurice Page | cath.ch